maginez votre sœur, votre fille, ou votre amie… brillante, ambitieuse, pleine de rêves. Puis, du jour au lendemain, tout bascule. C’est le drame que vit la famille d’Aya Boumzebra, une jeune étudiante ingénieure à l’École supérieure d’architecture de Marrakech. Aujourd’hui, Aya est plongée dans un coma profond à l’hôpital Paul-Brousse de Paris. Son seul espoir de survie ? Une seconde greffe de foie, urgente et coûteuse. Montant à réunir : 250 000 €. Une somme colossale que ses proches s’efforcent désespérément de réunir.
Qui est Aya Boumzebra ? Une étudiante brillante au destin bouleversé
Aya n’est pas une inconnue. Elle est en quatrième année d’architecture, passionnée, rigoureuse, aimée de ses camarades et de ses enseignants. Depuis l’enfance, elle souffre d’une maladie hépatique rare, qu’elle a courageusement affrontée pendant des années.
Il y a un an, un premier miracle a eu lieu : une transplantation hépatique réussie. L’espoir renaît. Mais le répit est de courte durée.
L’infection de trop : la rechute dramatique
Après la première greffe, la vie semblait enfin sourire à Aya. Mais une infection insidieuse, contractée peu après, est venue tout remettre en question. Loin d’être bénigne, cette infection a gravement affaibli son organisme.
Son état s’aggrave. Elle est hospitalisée à l’hôpital universitaire Ibn Sina de Rabat. Malgré les soins prodigués, son foie ne tient plus. Une deuxième greffe devient vitale. Malheureusement, les délais médicaux, la bureaucratie, et surtout… le coût exorbitant de l’opération freinent tout espoir.
Une famille à bout de souffle : entre détresse et espoir
Aujourd’hui, Aya est dans le coma. Son corps se bat, mais le temps presse. Ses proches, dévastés, n’ont d’autre choix que de lancer un appel humanitaire.
250 000 € — c’est le prix de la vie d’Aya. Pour beaucoup, c’est une montagne impossible à gravir. Pour ses parents, c’est un chiffre écrasant, mais aussi un espoir fragile. Car chaque euro récolté est une étincelle d’espérance.
« C’est très difficile pour la famille de réunir une telle somme. Mais on ne peut pas abandonner. On ne peut pas la laisser partir », confie Chaima Majidi, camarade d’Aya, la voix tremblante.
Une campagne de dons en ligne : un élan de solidarité en marche
Face à l’urgence, les amis et proches d’Aya ont lancé une campagne de dons en ligne via la plateforme Leetchi, relayée massivement sur les réseaux sociaux. Des influenceurs, des citoyens anonymes, des compatriotes marocains et étrangers… tous se mobilisent sous le hashtag #SauvezAya.
Malheureusement, la plateforme a temporairement suspendu la collecte. Pourquoi ? Pour des vérifications de sécurité et d’authenticité des données, comme c’est le cas pour de nombreuses campagnes sensibles. Cela ne signifie pas que l’élan de solidarité doit s’éteindre. Bien au contraire.
Un compte bancaire marocain a également été mis à disposition pour les dons, partagé activement sur les réseaux.
Pourquoi chaque don compte ?
Parce qu’il ne s’agit pas juste d’argent. Il s’agit de donner une seconde vie. Il s’agit de dire à Aya : tu n’es pas seule.
Aujourd’hui, c’est Aya. Demain, cela pourrait être l’un de nous. Face à la maladie, à l’injustice biologique, la solidarité est notre seule arme.
Vous pensez que 10 ou 50 dirhams ne changent rien ? Détrompez-vous. Des milliers de petites pierres bâtissent les ponts les plus solides. Chaque partage, chaque centime, chaque message compte.
Comment aider concrètement Aya ?
Voici ce que vous pouvez faire dès maintenant :
Partagez l’histoire d’Aya sur vos réseaux sociaux.
Faites un don via le compte bancaire officiel (à demander auprès des proches ou sur les publications vérifiées).
Reliez vos contacts influents, vos associations, vos réseaux d’entraide.
Contactez les médias. Parlez-en. Faites du bruit. Car plus on parle d’Aya, plus elle a de chances d’être sauvée.
Une nation unie pour une vie
Aya, ce n’est pas seulement une étudiante malade. C’est un symbole. Un rappel que personne n’est à l’abri, mais aussi que l’union fait la force.
Alors, à toi qui lis ces lignes, pose-toi cette question :
Et si c’était toi ? Ta sœur ? Ton amie ?
Ne reste pas spectateur. Agis. Parce qu’un geste, aussi petit soit-il, peut aujourd’hui écrire une toute nouvelle histoire pour Aya.
#SauvezAya – Ensemble, redonnons-lui la vie qu’elle mérite. 💙🙏