Le campus de l’Université Hassan I de Settat est secoué par un scandale choquant révélé par le syndicat étudiant. Selon des informations accablantes, une pratique inacceptable de « sexe contre notes » aurait été mise en place par la doyenne de la Faculté des sciences juridiques et politiques. Face à cette situation intolérable, le bureau local affilié à l’Union Marocaine du Travail a exprimé sa vive inquiétude et son désaccord avec les décisions prises par l’administration de l’université.
Dans un communiqué officiel, le bureau local dénonce fermement les méthodes administratives controversées employées par la doyenne pour outrepasser les responsabilités du président de l’université et du ministre en charge du secteur. Cette attitude, qualifiée de « dangereuse » par le syndicat, compromet la transparence et la gouvernance de l’institution, allant à l’encontre des directives royales prônées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI lui-même.
En plus de cette affaire grave, le bureau local met en évidence les pratiques répréhensibles de la doyenne envers les militants et militantes de l’Union Marocaine du Travail. Des intimidations, des exclusions arbitraires de droits annuels et un manque de transparence dans la communication avec les employés ont été signalés.
Face à cette situation préoccupante, le bureau local appelle à un rassemblement d’urgence avec le bureau régional pour définir un programme de lutte et faire valoir les revendications légitimes des employés. L’objectif est de rétablir l’éthique et l’intégrité au sein de l’université et de mettre fin à ces pratiques inacceptables.
Cette affaire, qui risque de ternir la réputation de l’Université Hassan I de Settat, met en lumière la nécessité d’une réforme pédagogique historique pour restaurer la confiance des étudiants et du personnel. Le syndicat reste déterminé à lutter pour des conditions de travail justes et équitables au sein de l’université, tout en préservant la dignité et l’honneur de l’institution.
Le scandale du « sexe contre notes » est un signal d’alarme pour l’ensemble de l’enseignement supérieur au Maroc, rappelant la nécessité d’une vigilance accrue en matière de gouvernance et d’éthique universitaire.
Toutes les parties prenantes, y compris les autorités universitaires et le ministère de l’Enseignement Supérieur, sont désormais interpellées pour prendre des mesures fermes et transparentes afin de mettre fin à ces pratiques dégradantes et de rétablir un climat sain et éthique au sein de l’université.
Youssef M. est journaliste web, passionné par le bien-être, le design, la culture et les tendances digitales, il signe des articles authentiques et inspirants qui allient créativité, expertise et curiosité du monde moderne.


