Dans une décision révolutionnaire, les hôtels du Maroc pourraient bientôt ne plus exiger d’acte de mariage lors des réservations. Cette annonce, qui a suscité des débats enflammés dans tout le pays, est le fruit d’une possible réforme majeure du droit pénal.
Selon des informations divulguées récemment, les autorités du secteur du tourisme auraient entamé des discussions pour mettre fin à cette exigence longtemps controversée. Si elle est confirmée, cette décision pourrait marquer un tournant significatif dans l’industrie hôtelière marocaine.
Des fuites provenant d’un document interne circulant dans un hôtel à Agadir révèlent que les employés ont été instruits de lever les restrictions sur les réservations des couples n’ayant pas d’acte de mariage. Cette nouvelle politique pourrait également s’étendre aux réservations des femmes dans les villes où elles résident.
Les réactions à cette annonce ont été variées. Certains saluent cette initiative comme un pas vers une plus grande ouverture et tolérance, tandis que d’autres expriment des préoccupations quant aux implications sociales et culturelles d’une telle décision.
Cette évolution potentielle dans la politique hôtelière marocaine pourrait avoir un impact majeur sur l’industrie du tourisme, avec des implications à la fois économiques et sociales. Les autorités et les professionnels du tourisme restent attentifs à l’évolution de la situation, tandis que la société dans son ensemble se prépare à débattre des conséquences de cette décision sur le paysage culturel du Maroc.
